Texte de Marie-Maude Bergeron-Painchaud & Myriame Pacheco
Ce prochain article parlera des trois projets de loi acceptés pour le Parlement écolier du 26 avril prochain.
Le premier projet de loi parlera de l’intimidation : ce projet de loi vise la prévention de l’intimidation des élèves d’âge mineur. Il établit le droit de toute personne à vivre de façon libre et sécuritaire et ce dans tous les lieux qu’elle fréquente. Ce court résumé représente le projet du député l’école Sainte-Thérèse-de-l’enfant-Jésus.
La prochaine loi parlera de la sécurité dans les zones scolaires : ce projet de loi vise à mettre en place des radars photos près de toutes les écoles primaires du Québec. Le projet de loi vise à sensibiliser et informer les citoyens de l’impact de la vitesse sur la sécurité des élèves dans les zones scolaires. Le projet de loi prévoit également une planification de la mise en place des radars photos ainsi que leur entretien. Enfin, ce projet de loi prévoit des sanctions pour les automobilistes récidivistes. Ce projet a été proposé par la députée de l’école Jules Verne.
Ce dernier projet de loi vous parlera de la sécurité aquatique. Il a pour objet d’obliger les écoles primaires à intégrer hebdomadairement le programme Croix-Rouge de natation à l’école. Le projet de loi prévoit qu’un élève d’une école primaire a le droit de bénéficier du programme Croix-Rouge natation à l’école et qu’une direction d’école a l’obligation d’instaurer une période hebdomadaire dans la grille- horaire de chaque élève, sous peine des sanctions prévues. Le projet de loi prévoit que le ministre de l’Éducation du Loisir et du Sport alloue une somme d’argent à chaque direction d’école permettant d’assumer les coûts associés à l’application de la présente loi. Enfin, le projet de loi prévoit l’embauche de moniteurs certifiés par la Croix-Rouge Canadienne et l’achat de nouvel équipement. Ce texte représentait le projet de loi de du député de l’école Académie François Labelle.
À notre école les députés Marie-Maude Painchaud Bergeron et Michael Poirier iront à Québec, car leurs candidatures ont été acceptées. Par contre, leurs projets de loi ne seront pas travaillés. D'ici quelques semaines et choisiront sur quel projet de loi ils veulent travailler. Ils ont de belles réflexions à faire d'ici là!